Documentaire dédié à l’acceptation de la surveillance dans la population à travers l’argument “je n’ai rien à cacher”.

Un documentaire qui m’a été conseillé dès sa sortie web. Une réussite !

Le documentaire -d’une heure trente- interroge la surveillance des données et comment sous couvert de la “sécurité” la population accepte de voir ses données non seulement surveillées mais aussi collectées tant par les gouvernements que les firmes privées…
Le film est composé de multiples interviews de diverses personnalités internationales travaillant dans la collecte de données numériques ou ayant été sujet d’une surveillance numérique. Et en toile de fond : une expérimentation faite par deux spécialistes qui ont hacké l’Iphone et l’IMac d’un artiste pour constater quelles informations sur sa vie ils étaient en mesure de collecter et alors confirmer ou infirmer que ce jeune homme n’a “rien à cacher”…

Site du projet :

https://nothingtohidedoc.wordpress.com/

Le film est mis gratuitement sur internet (licence Creative Commons 4.0*) mais sa réalisation n’échappe pas aux contraintes financières de la production audio-visuelle.

*La licence Creative Commons – Attribution – Non Commercial – No Derivatives (CC-BY-NC-ND) permet :
– de voir et de partager gratuitement le film en ligne en quatre langues (anglais, français, allemand, espagnol) si les auteurs et le site internet (nothingtohidedoc.wordpress.com/) sont cités.
– d’organiser des projections publiques si celles-ci sont gratuites et ouvertes à tou(te)s. Les lycées peuvent télécharger et projeter le film sans formalités.
– pour les séances ou diffusions commerciales, les distributeurs sont invités à contacter les auteurs. Les diffusions organisées par des associations requérant des cotisations annuelles ou organisées dans le cadre d’un évènement payant (conférence, symposium) sont considérées comme commerciales.
– chacun est invité à faire un don pour contribuer à payer la production du film et de sa suite en cours d’écriture.
La licence Creative Commons ne permet pas d’éditer, d’extraire et de remixer les images du film sans l’autorisation explicite des auteurs.